welcometomymind

sortez du troupeau

Vendredi 19 août 2005 à 8:42

"Un ogre c'est comme un oignon ça a des couches"


Marche aussi avec "une Céline"


La couche "coeur brisé qui ne s'en remettra pas" 


(j'allège pas je pratique juste très souvent l'autodérision c'est ma psy qui le dit:p, j'suis cynique aussi....)


c'est la couche qui me force à écrire.


Combien de fois je ne suis pas là, devant mon écran, à sourire, danser (enfin... gigotter), chanter, rêver...


à vouloir écrire un article sur l'humeur présente?


Mais ma flemmardise prend toujours le dessus


Il n'y a que pour dire que j'en bave que j'arrive à écrire


MAIS


J'aime la vie


J'aime aller mieux


J'aime la façon dont les gens commencent à me voir:


une vraie tarée capable de toutes les folies


qui aime beaucoup trop de choses, ses amis surtout et la vie...


J'aime sourire


J'aime le ciel bleu, j'aime la nuit, j'aime trouver cassiopé, j'aime les étoiles filantes...


J'aime


LA VIE


crapulerie publiée par Céline

dans la catégorie j y pense

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Lundi 8 août 2005 à 1:31

Rien qu'au nom de l'article, je sens que le peu de cow réveillé ne vont pas cliquer sur le dernier article ajouté dès que j'aurai cliquer sur envoyé.


Il y a une émission qui passe sur Paris Première que j'adore (je vais pas frimer en jouant à l'intello qui regarde bouillon de culture lol;) )ça s'appelle l'Actors Studio.



C'est un entretien dans une école de cinéma avec des réalisateurs, comédiens etc... et à la fin de l'émission, le journaliste propose toujours une série de dix questions venant tout droit du questionnaire que Bernard Pivot propose à ses invités à la fin de


 


 


 



 


 


Pourquoi en parler? Parce que je le trouve original, que les réponses sont souvent droles ou très intéressantes et comme je viens de le lire sur un site de philo "les réponses se révèlent particulièrement éclairantes sur les sentiments, les croyances et la pensée de ceux qui se prêtent à ce jeu. Il nous offre ici un excellent moyen d’aborder l’autre en esquissant sous différentes formes la question « Qui êtes-vous? Â» "  Le site nous conseille également d'y répondre spontanément et sans trop réfléchir ce que je trouve personnellement totalement impossible.


Donc voilà je vous propose le questionnaire avec mes réponses à vous d'aborder l'autre (moi en l'occurence) et d'y répondre à votre tour;)


 


1. Votre mot préféré?  Aime ( de série avec "je t' " en général)


2.Celui que vous aimez le moins? mort


3.Le son que vous préférez? (la longue réflexion commence abrégée par la suite en LR ;) ) LR LR LR ..... le bruit du bisous tout doux déposé sur le front


4.Celui que vous détestez? de circonstance: les parasites du téléphone portable sinon les pleurs des jeunes enfants.


5.Qu'est-ce qui vous stimule? l'avenir et écrire


6.Qu'est-ce qui vous rebute? l'ignorance créée par le désintéret


7. Quel métier aimeriez vous exercer? professeur


8.Lequel refuseriez-vous d'exercer? dictateur


9.Votre juron préféré? putaint


10.Si Dieu existe qu'aimeriez vous qu'il vous dise à votre entrée au paradis?


Tu t'en es bien sortie.


 


Ben finalement je l'ai fait assez rapidement et spontanément ...


A vous de jouer!!


à vos questions ...


crapulerie publiée par Céline

Lundi 8 août 2005 à 0:56

J'EssaiE d'EtrE hEurEuse


J'y parviEns plutôt biEN


J'EssaiE de


fairE


sEmblant


quE tout Est fini


quE c'est miEux ainsi


JE sais quE cEs mots sont justEs


quE c'Est surement miEux commE ça


mais mon coEur jouE mal la comEdie


J'EssaiE dE t'oubliEr, dE rEnvErsEr cE sabliEr



 


mais la vérité


c'est que...


 


j'en bave de t'oublier


 


il y en a même qui pense que c'est impossible: toi "de toute façon tu peux pas m'oublier hein?"

crapulerie publiée par Céline

dans la catégorie moments de vie

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Dimanche 7 août 2005 à 4:34

Tu n’as jamais eu envie, à la fin de ces journées qui n’ont l’air de jamais finir, de t’en aller, loin ? Tu quittes ce lieu où tu viens de passer ta journée, clone de centaines d’autre, tellement de journée derrière celle là qu’elles paraissent sans fin. Et là tu n’as qu’une envie tout dégager, interrompre réellement cette suite, en finir avec cette routine aussi agréable puisse-t-elle être. Partir, dans une autre patrie, voir le ciel, la mer et la montagne, ne même pas prendre le temps de faire tes valises, partir à l’improviste sans prévenir sans prévoir sans même y penser juste le faire, y aller. Aller là où personne ne te connaîtra, voir des visages que tu n’as jamais vu et qui ne t’ont jamais vu. Entouré de gens, de tas de gens mais tous inconnus, un endroit infini où rien ne nous enferme, où personne ne connaît ton passé et où personne ne s’en soucie. Un endroit tellement vaste, et qui jamais de toute l’histoire n’a connu de barrière, que tes yeux jamais ne pourront en voir le bout. Aller au delà des étoiles. Aller au delà de ton corps et de ton âme, aller bien plus loin que tout ce qui est en toi. N’as tu jamais eu envie à la fin de ces journées qui n’ont l’air de jamais finir, de t’en aller, loin de voir de tes yeux qu’il te reste le monde entier à découvrir, cet espace incroyable entrant en toi et de te sentir ne serait-ce qu’une fois réellement libre ?  


 


Je l'ai écrit, j'en ai longtemps rêve et deux ans après je l'ai enfin fait!!! Bon ok je ne suis pas partie bien loin, ok je n'étais pas entouré de visage inconnus. vous vous demandez peut-être ce qui reste de l'histoire et du rêve? Ce que j'estime l'essentiel : la spontanéité et cet incroyable sentiment de liberté.


 


contexte


date: Dimanche soir 3 juillet


personnages:3 amis Céline, Clément (mon meilleur ami), Kamel


activité: cherchent quelque chose à faire.


lieu: mon balcon


phrase sortie de nulle part: "si on allait à Paris?"


date: Lundi 4 juillet 00.30


lieu: Gare de Mulhouse


affaires : un aller simple, un pull, portefeuille.


 


et nous voilà sous la pluie, un lundi matin à Paris!



Et si on nous avait dit la veille qu'on serait à Paris à voir un concert de Mc Solaar et de Neneh Cherry on les aurait surement pas cru;)


Mais la liberté ne s'arrête pas là... faut dire qu'on est bien fou. Récapitulons : on a juste un pull, on est trempé, on a plus de batterie de téléphone, pas de chargeur(on partait que pour une journée), pas de fringues, enfin rien quoi;) mais regardez où on se retrouve le mardi matin...


 

 


Pour ceux qui n'aurait pas reconnu voici le port d'Arcachon. Je suis en jean's oui, mais jamais je n'aurai pensé me retrouver à Arcachon quand on ess parti pour Paris une journée.


Et comme jamais deux sans trois, nous avons passé la soirée à ...Bordeaux!


Pour rentrer mercredi totalement crevé et encore tout mouillé malgré les 11 heures de train: c'était Génial!!!

crapulerie publiée par Céline

dans la catégorie moments de vie

1 réaction

Mardi 2 août 2005 à 1:18

 


Tu pensais peut-être que j'y croirai toute ma VIE. Certes, c'est ce que je t'avais toujours DIT. Tu m'as fait comprendre que parfois il fallait ARRETER de TOUJOURS y CROIRE, que RIEN n'allait S'ARRANGER entre NOUS, que tout ne ferait qu'EMPIRER.


Le jour où j'ai commencé à me rendre à l'évidence tu as dit que je t'OUBLIAIS, pourtant c'est ce que tu m'avais dit de faire tout ce temps où je m'accrochais. Tu es même allée jusqu'à dire que tu avais toujours voulu et pensé qu'on soit ENSEMBLE. Même quand tu m'as dit que ça ne s'arrangerait pas? PASSONS...


Oh, oui, je CROYAIS en beaucoup de choses. Je ne crois plus en RIEN, je suis le NIHILISTE, le méchant qui se PROTEGE, celui qui se joue et se moque de TOUT, celui qui ne REVE plus, je suis la NEGATION du monde et des sentiments, je suis celui qui est TOMBE des cieux : le grand DECHU et c'est aux ENFERS qu'il faudra me chercher si tu veux me retrouver. Jamais je ne récupérerai mes AILES, je redeviendrai peut-être HUMAIN mais jamais plus je n'atteindrai les ETOILES...


crapulerie publiée par Céline

dans la catégorie écrits

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