Concentré sur ce fameux mémoire, je me retrouve comme un tigre en cage enfermé dans ma tête alors quelques pensées qui la traverse pendant la rédaction :
Moi je décide aujourd'hui que les choses de la vie doivent se suffire à elles-même et ne pas avoir de fonction utilitaire
la mise à mot n'est-il pas, surtout avec un support telle que la littérature, une mise en acte, ou du moins un début à celle-ci ?
Or, l'acte intellectuel est tout aussi important que l'acte physique, élément dont a très certainement pleine conscience le révolté mais qui est totalement inconnu du rebelle pour qui seule l'action compte
il retourne à Dieu son billet pour le paradis, n'acceptant pas l'absurdité et l'injustice de devoir souffrir sur terre pour y avoir accès.
et pour finir cette pensée profonde :
je ferai mieux de ne bosser que sur mon mémoire ;)