welcometomymind

"Qui appelle l'individu au sacremment général où il retentit en majestueux accords?

Qui fait sévir l'ouragan des passions?

Qui gravement rougit le couchant?

Qui essaime toutes les belles fleurs printannières sur les pas de la bien-aimée?

Qui, prenant d'insignifiantes feuilles vertes, les tresse en couronne d'honneur aux mérites de toutes sorte?

Qui préserve l'Olympe?

Qui unit les dieux?

La force de l'homme révélée en le poète."

Faust, Prélude sur le théâtre, Goethe.

Nous disons donc :

* en entrée lire les bouquins de la biliographie avant la rentrée (très bon choix mademoiselle je ne peux que vous en féliciter)

* en plat de résistance une première année de master avec des matières comme science des textes, littéraure et civiisation, poétique stylistique et critique, littérature française, littérature comparée, sémantique lexicale... et bien sur la rédaction d'un mémoire de recherche.

* je prendrai également une inscription au CAPES (980 postes cette année) avec sa préparation ( vous êtes sur? Vous ne craignez pas l'indigestion?)

* en dessert : une corde en cas de coup dur:p

*céline déjà fatiguée 5 jours avant la rentrée...*

"Nous souhaitons la vérité

et ne trouvons en nous qu'incertitude.

Nous recherchons le bonheur

et ne trouvons que misère et mort.

Nous sommes incapables

de ne pas souhaiter la vérité et le bonheur

et sommes incapables ni de certitude ni de bonheur.

Ce désir nous est laissé tant pour

nous punir que pour

nous faire sentir d'où nous sommes tombés"

Pascal, Pensées, pensées 20

(il était pas beau alors je met pas de photo :p : la littérature selon Céline très fière de sa connerie ...)

"Il faut pleurer,

parce que c'est la seule réponse efficace

à certaines contradictions plus féroces,

à certaines incompatibilités essentielles de la vie,

simplement enfin parce que l'injustice existe,

et qu'il est vain de la nier."

" Car, bien que je ne sache pourquoi,

il me vient des scintillantes multitudes des cieux

le sentiment d'une protection et d'une paix

infinies.

C'est là, je le crois,

dans les éternelles et les vastes lois de la matière,

et non dans les soucis, les crimes et les tourments

quotidiens des hommes,

que ce qu'il y a de plus animal en nous

doit trouver

sa consolation et son espoir"