welcometomymind
sortez du troupeau
Vendredi 23 octobre 2009 Ã 21:50
" Ibant obscuri sola sub nocte" Enéide, Virgile
"Ils allaient obscurs dans la nuit solitaire"
Ca me parle.
"Ils allaient obscurs dans la nuit solitaire"
Ca me parle.
crapulerie publiée par Céline
dans la catégorie littérature / cours
Dimanche 4 octobre 2009 Ã 22:39
Merci Audrey, mais ton commentaire me donne un peu envie de pleurer j'ai un programme en ancien français où pour m'y tenir je dois traduire 30 vers par jour rien que ça ça me prend une heure et j'ai des dissert à rendre toutes les deux smeaines quasiment (6h en condition de concours) + les explic de texte (1h30) + les sujets de grammaire 2, + les dissert pas à rendre + l'espagnol (4h) tout ça par semaine ... bref j'ai pas des capacités de fou moi ils font que je travaille beaucoup plus que toi pour arriver à faire ne serait-ce que mes devoirs (ouais parce qu'on a des deovirs) mais je sens le soutien et ça c'est cool !
Pour venir te voir avec crapule je sais qu'on en a parlé mais je me souviens plus de la conclusion mais de mon coté et dans ma tete ça pourrait se résumer par : avec grand plaisir mais on a déjà beaucoup de mal à trouver du temps pour des trucs prévus depuis l'été (genre aller dans un nid et visiter la famille) ben oui on travaille cette année sans compter que la pauvre n'a aucune journée de repos quand je vois ce qu'elle fait je me dis que moi c'est pas si terrible bon là ça fait un peu 36 15 sa vie sur cowblog lol :p enfin voilà si l'invitation méga gentille est pasà durée déterminée surement un jour je pense ;-)
Pour venir te voir avec crapule je sais qu'on en a parlé mais je me souviens plus de la conclusion mais de mon coté et dans ma tete ça pourrait se résumer par : avec grand plaisir mais on a déjà beaucoup de mal à trouver du temps pour des trucs prévus depuis l'été (genre aller dans un nid et visiter la famille) ben oui on travaille cette année sans compter que la pauvre n'a aucune journée de repos quand je vois ce qu'elle fait je me dis que moi c'est pas si terrible bon là ça fait un peu 36 15 sa vie sur cowblog lol :p enfin voilà si l'invitation méga gentille est pasà durée déterminée surement un jour je pense ;-)
crapulerie publiée par Céline
dans la catégorie littérature / cours
Vendredi 18 septembre 2009 Ã 1:17
J'ai l'impression d'avoir le temps de rien. Aujourd'hui, je n'ai fait qu'aller en cours, manger, voir son match, rentré, rien d'autre. Il est une heure. Je suis trop fatiguée pour vraiment faire un effort intellectuel là , alors je vais lire. Je me lève TRES tôt demain. Je pense à ma quiche, je me suis dit que j'aimerais bien l'appeler pour savoir comment sa rentrée s'est passée, lui parler de la mienne, mais je sais déjà , en pensant à ma journée de demain, que je n'aurai simplement pas le temps.
Avant hier, j'ai travaillé 2h11, hier 3h20, aujourd'hui si je lis 30 min je pourrai m'estimer heureuse. Mon objectif serait d'atteindre les 5h quand j'ai cours ( = mardi, mercredi, jeudi), les 7 quand je n'ai pas cours. Et il faut que j'atteigne très vite ce rythme parce qu'il ne faut absolument pas y aller crescendo et arriver épuisé au concours, c'est le prof qui l'a dit. Je me sens déjà largement submergée de travail. Comme noyée. Mais pas dépassé, pas encore, je crois pas. Nos profs n'arrêtent pas de dire qu'il faut s'astreindre à une hygiène de vie. Que la fête c'est fini. Qu'on prépare le concours comme un athlète se prépare à une compétition. Et c'est vrai que ma douce moitié ne sors pas une veille de match. Je n'ai plus qu'à  considérer que j'ai une veille de match de 20 semaines...
En fait, il y a un élément différent des autres années qui me satisfait, que je suis contente d'expérimenter. Cette année, je n'ai ni télé ni internet. A part chez mes parents, bien sûr. Pour me détendre, la radio ; le matin j'écoute les infos (ça me change de facebook) , le soir avant de dormir, pas de télé, pas d'internet, pas de chat jusqu'à pas d'heure, je lis. Et avant, manquer d'internet me manquait à tel point que j'en parlais dans mon jounal. Là , j'aime plutôt la façon dont les choses se déroulent. Avant je connaissais une tension et un mal être et internet faisait tout disparaitre en même temps (là vous vous dites que je suis vraiment droguée et que j'ai un vrai problème, c'est pas faux et j'en ai conscience, je suis peut-être cyber dépendante mais je me seuvre toute seule ^^). Là , il y a cette tension, mais d'une part je pense qu'elle est bonne une année de concours, que quand je me dis que le prof a dix min de retard et que pendant ces dix min 'jaurais pu faire toute cette série de chose c'est l'attitude à avoir, l'attitude gagnante :p Et en plus aucun mal être. Je vis plutôt bien ma cyber - séparation, même si du coup je vis cette tension, c'est pas toujours agréable mais pour le moment je la vois comme un mal nécessaire et presque rassurant. Et pour le côté hygiène de vie, je vais en cours à vélo ;-) ça me fait du bien. (mais j'ai un plat :()
Enfin voilà , beaucoup de boulot, mais ça ne me fait pas peur, pour l'instant les choses se déroulent durement mais c'est une contrainte ascencionnelle :) Mon objectif à court terme serait de pouvoir me lever plus tôt pour pouvoir travailler une petite demi-heure, voir 1h le matin, pour attendre l'objectif à moyen terme du volume horaire quotidien que je me suis fixée, pour atteindre l'objectif à long terme d'arriver au concours avec la meilleure préparation et le meilleur entrainement possible, pour atteindre l'objectif final d'avoir mon CAPES, pour atteindre l'objectif ultime de boire une bouteille de nectar (la bouteille se trouve (memento personnel pour pas que j'oublie) à  la cave, caisson de gauche, deuxième rangée en partant du haut, deuxième emplacement en partant de la gauche)  pour fêter NOTRE année (ton DE, mon CAPES, nos un an :) )
Avant hier, j'ai travaillé 2h11, hier 3h20, aujourd'hui si je lis 30 min je pourrai m'estimer heureuse. Mon objectif serait d'atteindre les 5h quand j'ai cours ( = mardi, mercredi, jeudi), les 7 quand je n'ai pas cours. Et il faut que j'atteigne très vite ce rythme parce qu'il ne faut absolument pas y aller crescendo et arriver épuisé au concours, c'est le prof qui l'a dit. Je me sens déjà largement submergée de travail. Comme noyée. Mais pas dépassé, pas encore, je crois pas. Nos profs n'arrêtent pas de dire qu'il faut s'astreindre à une hygiène de vie. Que la fête c'est fini. Qu'on prépare le concours comme un athlète se prépare à une compétition. Et c'est vrai que ma douce moitié ne sors pas une veille de match. Je n'ai plus qu'à  considérer que j'ai une veille de match de 20 semaines...
En fait, il y a un élément différent des autres années qui me satisfait, que je suis contente d'expérimenter. Cette année, je n'ai ni télé ni internet. A part chez mes parents, bien sûr. Pour me détendre, la radio ; le matin j'écoute les infos (ça me change de facebook) , le soir avant de dormir, pas de télé, pas d'internet, pas de chat jusqu'à pas d'heure, je lis. Et avant, manquer d'internet me manquait à tel point que j'en parlais dans mon jounal. Là , j'aime plutôt la façon dont les choses se déroulent. Avant je connaissais une tension et un mal être et internet faisait tout disparaitre en même temps (là vous vous dites que je suis vraiment droguée et que j'ai un vrai problème, c'est pas faux et j'en ai conscience, je suis peut-être cyber dépendante mais je me seuvre toute seule ^^). Là , il y a cette tension, mais d'une part je pense qu'elle est bonne une année de concours, que quand je me dis que le prof a dix min de retard et que pendant ces dix min 'jaurais pu faire toute cette série de chose c'est l'attitude à avoir, l'attitude gagnante :p Et en plus aucun mal être. Je vis plutôt bien ma cyber - séparation, même si du coup je vis cette tension, c'est pas toujours agréable mais pour le moment je la vois comme un mal nécessaire et presque rassurant. Et pour le côté hygiène de vie, je vais en cours à vélo ;-) ça me fait du bien. (mais j'ai un plat :()
Enfin voilà , beaucoup de boulot, mais ça ne me fait pas peur, pour l'instant les choses se déroulent durement mais c'est une contrainte ascencionnelle :) Mon objectif à court terme serait de pouvoir me lever plus tôt pour pouvoir travailler une petite demi-heure, voir 1h le matin, pour attendre l'objectif à moyen terme du volume horaire quotidien que je me suis fixée, pour atteindre l'objectif à long terme d'arriver au concours avec la meilleure préparation et le meilleur entrainement possible, pour atteindre l'objectif final d'avoir mon CAPES, pour atteindre l'objectif ultime de boire une bouteille de nectar (la bouteille se trouve (memento personnel pour pas que j'oublie) à  la cave, caisson de gauche, deuxième rangée en partant du haut, deuxième emplacement en partant de la gauche)  pour fêter NOTRE année (ton DE, mon CAPES, nos un an :) )
crapulerie publiée par Céline
dans la catégorie littérature / cours
Jeudi 13 août 2009 à 23:18
          Je me suis motivée à commencer à apprendre mes citations aujourd'hui. Elle m'a demandée de finir première l'an dernier et j'ai même pas eu mon concours. J'y arriverai pas plus cette année à être première, mais l'avoir ce sera déjà bien et je me dis qu'ensemble tout est possible (oh mon Dieu !! j'ai pas dit ça :p Nicolas sort de ce corps), toi et moi ensemble, tous les espoirs de succès nous sont permis mais bon y a pas de secret faut bien donner un petit coup de pouce à notre brillant destin :p (on a rien sans rien : travailler plus pour avoir plus son capes ^^) . Alala c'est fou je parle d'elle/ de toi même dans ma catégorie littérature. Enfin tout ça pour dire que j'ai commencé par apprendre les A (trop original :p). voici leur histoire (ah non ça c'est new york unité spéciale c'est pas gagné le concours ....)
"Jamais je n'ai écrit une histoire dont je connaissais le déroulement, j'ai toujours été, écrivant, comme un lecteur qui fait la connaissance d'un paysage ou de personnages" Aragon, Je n'ai jamais appris à  écrire ou les Incipit.
"Je n'ai jamais écrit mes romans, je les ai lus [...] comprenez-moi bien : je n'ai jamais su qui était l'assassin "  Aragon, Je n'ai jamais appris à  écrire ou les Incipit.
Définition de la comédie : "l'imitation d'hommes de qualité morale inférieure, dans le domaine du risible, lequel est une partie du laid" , Aristote, La Poétique
Définition de la métaphore : "un transport à une chose d'un nom qui en désigne une autre" (celle là elle veut pas rentrer), Aristote, La Poétique
"Est un mot inventé celui qui n'est employé par absolument personne, et que le poète établit de son propre chef" Aristote, La Poétique
"Une seule révolution du soleil" (c'est la durée souhaitée pour une tragédie), Aristote, La Poétique
Le but de la katharsis est de " préparer les hommes à affronter avec plus de constance toutes les épreuves de la vie" , Aristote, La Poétique
"Le comique tient [...] à un défaut et à une laideur qui n'entrainent ni douleur ni dommage. Ainsi, par exemple, un masque comique peut être laid sans exprimer de douleur.", Aristote, La Poétique
La tragédie doit avoir "un langage rélevé d'assaisonnements dont les espèces sont utilisés séparément", Aristote, La Poétique
"Le rythme et la coupe du vers voilà la véritable ponctuation, et il n'y en a pas d'autre", Appolinaire.
"La scène est un lieu physique et concret qui demande qu'on le remplisse et qu'on lui fasse parler son langage concret." Artaud
"Toute l'écriture est de la cochonnerie ", Artaud ( la provocation me parle :) )
"L'écriture fixe l'esprit et le cristallise dans une forme, et de la forme naît l'idolatrie" , Artaud.
Demain on essaiera les B (6 fois plus à peu près)
"Jamais je n'ai écrit une histoire dont je connaissais le déroulement, j'ai toujours été, écrivant, comme un lecteur qui fait la connaissance d'un paysage ou de personnages" Aragon, Je n'ai jamais appris à  écrire ou les Incipit.
"Je n'ai jamais écrit mes romans, je les ai lus [...] comprenez-moi bien : je n'ai jamais su qui était l'assassin "  Aragon, Je n'ai jamais appris à  écrire ou les Incipit.
Définition de la comédie : "l'imitation d'hommes de qualité morale inférieure, dans le domaine du risible, lequel est une partie du laid" , Aristote, La Poétique
Définition de la métaphore : "un transport à une chose d'un nom qui en désigne une autre" (celle là elle veut pas rentrer), Aristote, La Poétique
"Est un mot inventé celui qui n'est employé par absolument personne, et que le poète établit de son propre chef" Aristote, La Poétique
"Une seule révolution du soleil" (c'est la durée souhaitée pour une tragédie), Aristote, La Poétique
Le but de la katharsis est de " préparer les hommes à affronter avec plus de constance toutes les épreuves de la vie" , Aristote, La Poétique
"Le comique tient [...] à un défaut et à une laideur qui n'entrainent ni douleur ni dommage. Ainsi, par exemple, un masque comique peut être laid sans exprimer de douleur.", Aristote, La Poétique
La tragédie doit avoir "un langage rélevé d'assaisonnements dont les espèces sont utilisés séparément", Aristote, La Poétique
"Le rythme et la coupe du vers voilà la véritable ponctuation, et il n'y en a pas d'autre", Appolinaire.
"La scène est un lieu physique et concret qui demande qu'on le remplisse et qu'on lui fasse parler son langage concret." Artaud
"Toute l'écriture est de la cochonnerie ", Artaud ( la provocation me parle :) )
"L'écriture fixe l'esprit et le cristallise dans une forme, et de la forme naît l'idolatrie" , Artaud.
Demain on essaiera les B (6 fois plus à peu près)
crapulerie publiée par Céline
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Vendredi 17 juillet 2009 Ã 11:01
Discours des misères de ce temps , Ronsard
Les aventures de Télémaque , Fénelon
La surprise de l'amour, la seconde surprise de l'amour, le jeu de l'amour et du hasard , Marivaux
en attendant Godot, Oh les beaux jours, Beckett
Poésies, Une saison en enfer, Rimbaud (déjà dans ma bibliothèque)
Oeuvre antérieure à 1500 : Erec et Enide Chrétien De Troyes, ed. M. roques, Paris, 1952, Champion
Les aventures de Télémaque , Fénelon
La surprise de l'amour, la seconde surprise de l'amour, le jeu de l'amour et du hasard , Marivaux
en attendant Godot, Oh les beaux jours, Beckett
Poésies, Une saison en enfer, Rimbaud (déjà dans ma bibliothèque)
Oeuvre antérieure à 1500 : Erec et Enide Chrétien De Troyes, ed. M. roques, Paris, 1952, Champion
crapulerie publiée par Céline
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