welcometomymind

sortez du troupeau

Jeudi 29 décembre 2011 à 14:13

 Tu me surprends un peu plus chaque jour, je crois que tu es un melange de V. et de C. ...^^ tout en ayant qqch de specifique et d'unique qui te distinguent d'elles.

crapulerie publiée par Céline

Mercredi 28 décembre 2011 à 22:22

Aime les réveils à 22h20

Aime sentir que c'est à nouveau possible

Même si rien n'est joué et rien n'est sûr.

Aime ressentir et aime se sentir vivre !

Aime ce réveil là !

crapulerie publiée par Céline

Samedi 19 novembre 2011 à 17:25

Je t'abandonne, cher blog, toi qui est si vieux, toi qui a vu tellement de moment de ma vie différent

toi qui, je n'ai pas peur des mots, m'a vue grandir, évoluer...

Je devrais réécrire, je sais.

Je e sais ce qui m'éloigne à ce point de toi.

Je dois avoir peur de ce qui se cache en moi

J'évite de trop penser et de trop réfléchir ou alors j'essaie de faire semblant que je ne le remarque pas : anesthésie du cerveau, exaltation des sens.

On pourrait croire que je me cache ou que je me mens  à moi-même mais en fait non je crois que j'ai changé en profondeur ma façon de voir les choses...

Et j le vis bien.

Je vis au jour le jour. De plus en plus. J'essaie en tout cas...

crapulerie publiée par Céline

Mardi 12 juillet 2011 à 0:05

Cette phrase reste dans ma tête.

Mais je ne lui trouve pas de suite.

Pourtant, seule, comme ça, cela ne veut rien dire.

Ce n'est pas comme "tout me réussit" ou "je suis bien" ou "j'ai l'impression que rien ne peut m'arrêter". Tout ça, ça se suffit en soi, mais pas "d'une certaine manière". Et je ne sais pas pourquoi j'ai ça en tête ni pourquoi je n'ai pas de suite. C'est comme si c'était le fil visible qui dépasse de mon inconscient à ma conscience. Mais qu'y a-t-il ensuite ? Comment connaitre la suite de cette phrase ? 

Bonjour Céline, bientôt 27 ans, quelqu'un de bien, aimée par des tas de gens et en aiment certains d'entre eux. Je viens d'avoir mon code et mon CAPES, je remeuble mon chez moi, lui insuffle de moi, et d'une certaine manière... D'une certaine manière quoi ?

D'une certaine manière j'ai ce que j'ai toujours voulu ?

Nan, pas tout-à-fait. J'en suis pas loin il est vrai. Alors d'une certaine manière quoi ?

D'une certaine manière je ne comprends toujours pas ? Peut-être mais est-ce que ça me préoccupe vraiment.

Ou d'une certaine manière je m'en sors toujours ? J'aime bien l'idée !

Je revis constamment, sans jamais réellement changer qui je suis. Je sais qui je suis. Je sais ce que je veux. 

Je sais que les one night stand sont meanless et ne m'aide en rien pour mon happy ending ever after. Alors quel est l'intérêt ? Aucun c'est bien pour ça que ça ne m'intéresse pas, du tout, même si ça fait vieux jeu.

D'une certaine manière ce blog est peut etre un adorable boulet que j'aime malgré tout.

crapulerie publiée par Céline

Mardi 14 septembre 2010 à 21:33

Je fuis. J'essaie de m'évader dans un monde virtuel, le monde de facebook, du blog, des séries, le monde qui n'existe pas, le monde qui n'est que reflet, et le reflet n'est jamais l'objet. Le reflet fait moins mal puisqu'il n'a pas de réalité.. L'atroce reflet n'est peut-être qu''un mirage. Je ne veux pas penser. Je ne veux pas travailler, je veux juste fuire et m'évader, cesser d'exister, cesser d'etre moi, cesser d'avoir ma vie. Je ne suis pas malheureuse tout pourrait même aller pour le mieux en ce moment. Peut-être que j'ai même tout ce dont j'ai toujours rêver... Un travail, un toit avec elle.

Mais

Mais.

Si ce n'est ....

Je suis plus qu'inquiète, à vrai dire je suis morte de trouille. Et j'ai un mauvais pressentiment. Il y a des symptomes que j'ai sous le nez, que je peux pas louper mais je veux pas savoir, je ne pose pas de question, je ne veux pas entendre ce qu'on me dit. Douce ignorance, douce ignorance, mon adorée, ne me quitte pas, pas maintenant, j'ai tellement besoin de toi. Ne pars pas, je n'y survivrais peut-être pas. Pas deux fois. Pas deux fois dans l'année. Surtout pas CES deux fois là. Pas cette année pas 5+5 ça fait 10 et on est en 2010 surtout pas. Je veux pas voir ça. Je veux pas vivre ça. PEut-être que je m'angoisse pour rien mais.... il y a quelque chose qui va pas c'est sûr et ce maudit pressentiment ne me lache pas.

Je bénis mes larmes inutiles.

Je maudit les larmes véridiques.

crapulerie publiée par Céline

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