welcometomymind

sortez du troupeau

Lundi 25 mai 2009 à 23:28

Il FAUT que ça aille ...

crapulerie publiée par Céline

Jeudi 7 mai 2009 à 14:26




On a décidé de se laisse une autre chance, après tout une rutpure le jour anniversaire de nos trois ans et quatre mois ça aurait pas été terrible.

 

Ai pensé à créer une catégorie du genre boire et déboires sentimentaux, comme quand on avait 14 ans, et que notre relation sentimentale, c'était tout, et je me suis dit qu'en fait à 14 ou 24 (pour encore deux mois)  ça changeait pas grand chose, ça nous rend toujours tristes, heureux, fous, en colère, jaloux, différents... et d'après ce que je vois chez les "grands" y a pas grand chose de neuf sous le soleil.

Ma mère espère toujours que mon père l'aide de sa propre initiative au lieu de lui demander, on essaie toujours d'être nous en vivant avec l'autre, c'est toujours compliqué, des compromis ... bref ! Je trouve pas qu'on rationnalise tellement plus avec l'âge,on sait juste qu'au fond, si on a mal, ça passe, c'est peut-être encore plus triste d'ailleurs quelque part, une sorte de cynisme, de comportement blasé, lassé, désabusé...


Dans mon entourage c'est l'hécatombe niveau couple en ce moment, engueulade, rupture ... pourtant c'est pas le retour des grandes vacances comme dirait l'ancien...

Résultat bientôt. Trop bientôt. Cherche un truc génial à faire pour pas y penser ce jour là, pour pas être seule surtout... Je le sens pas trop, autant le dire pour mémoire. Disons du 50/50 voir du 40/60 donné perdant. De toute façon,  c'est joué depuis deux mois, on peut plus rien y faire maintenant...


Ai des amis en or, vous savez le genre qui, maintenant que les gens de votre âge démarre leurs vies d'adultes, ont un boulot, un appart, un copain, un pacs, une wii et trois poissons rouges, le genre avec qui vous allez plus faire les fous en boîte ou vous ennivrer, le genre qui, forcément, vous voyez moins, mais surtout le genre qui vous accueille toujours à bras ouvert même si vous devriez vous donner des nouvelles plus souvent que ça. Le genre à pas avoir besoin de marques daffection ou de grand discours pour savoir que vous êtes là et que vous feriez pareil si ils avaient besoin de vous. Le genre qui vous met du coton tout doux sur votre coeur quand vous saviez même plus que vous en aviez un.



Doit me remettre sérieusement aux révisions ! Si si !! Je viendrais publiquement me donner des bons points ou me blamer tous les jours ici-même.

En attendant ...

crapulerie publiée par Céline

Vendredi 1er mai 2009 à 11:06


Prologue


                 Cet article ne sert qu'à mettre en ordre mes idées. A donner un sens artificiel à quelque chose qui n'en n'a pas, puisque ne rêvons pas, il y a rarement une réelle logique dans les choses qui nous arrivent. J'espère enfin, que cela m'aidera à réfléchir et peut-être prendre une décision...


 
 Chapitre premier : la dispute


 
               Faisant preuve de mon habituelle indiscrétion frôlant autant l'irrespect que l'impolitesse, je "tombe par hasard" sur un mail envoyé par ma copine (depuis 3 ans) à quelqu'un que je ne connais absoluement pas :

"coucou dsl pr hier je sais pas si tas essaye dappeler ms on est rentres tard, jespere kon se parlera auj lol ya pas daccent ni rien sur ce clavier c la merde mdr je tenverrai le numero de lhotel par message
jespere ke les cours ca a ete lol dur dur
bisous
******"                    


Au moment où elle écrit ce mail elle était en Italie, JE n'avais pas le numéro de son hôtel, ELLE n'espérait pas me parler "aujourd'hui' J'AI eu deux pauvres sms en une semaine, et aucun mail MOI.


J'apprends alors qu'elle connait cette fille depuis un mois, rencontrée sur un site de rencontre (HA HA HA).

Ce n'est pas ce que je crois, je dois penser à nos trois ans, à tout ça, je la connais elle n'aurait jamais rien fait...

Puis les choses prennent soudainement une tournure innatendue et quelque peu étrange : comment ai-je osé faire ça ? (Je ne dis pas que la question ne se pose pas mais vu les circonstances n'était-elle pas un peu hors de propos ?), ses sentiments ont changé, elle veut être seule, n'est pas heureuse, et ce, depuis deux mois dit-elle.


Avec mes larmes s'évacuent également toute dignité et je m'humilie en suppliant à genoux de revenir sur cette idée de rupture, rien n'y fait. Le lendemain, (c'est-à-dire hier) le même sénario, avec moi qui répète sans cesse que tout cela n'est qu'un cauchemar.

Je pars, ne pouvant rester seule, et sur la quai de la gare, alors que Grégoire arrive à me tirer quelques larmes ( on aura tout vu), je reçois un sms de sa part.



 
Chapitre deux : Conversation smsienne


11 h 33 : "Je veux juste savoir où tu es et si tout va bien"

=> "Ce n'est plus le genre d'informations qui te concerne. C'est les règles du jeu quand c'est fini."



11h36 : "Je sais ... Ms j'arrive pas à me faire à l'idée, je suis anéantie..."

=> "C'est la vie comme tu dis si bien. On peut pas lutter contre le destin. Et t quand même moins malheureuse qu'avec moi. Et ça passera"


11h40 : " Non je suis malheureuse aussi... et j'arrête pas d'entendre ce que tu me disais sur on peut toujours arranger les choses si on se bat ... G envie d'y croire."

=> " On verra dimanche ce qu'il en est ? Ok ? J'ai pas envie que tu regrettes par la suite ... Je suporterai pas ça deux fois en pas lgt..."

info complémentaire : On vit ensemble depuis septembre.

11h44 : "T'as raison dimanche c'est bon pour moi... Fais attention à toi."



11h51 : "Est-ce que je peux juste savoir où tu seras ?"

=> "Je préfère qu'on se donne pas trop de nouvelles dans l'intervalle. Tu réfléchiras mieux la tête vide..."

11h57 : "Ok je comprends... A dimanche alors. Bisous"



19h39 :  " coucou. Si j'ai bien compris on reparle de nous deux dimanche donc en attendant on reste "sages" hein ... d'accord ?"


=> "Ben je sais pas ... C'est ce que tu veux ?"

20h11 : " Bah oui, bien sûr."

=> "Ok alors. Mais je trouve ça bizare que tu me dises que c fini mais qu'on doit rester sage. Mais ok. à dimanche."

 

Chapitre trois : le recul.



          Après m'être géographiquement éloignée, avoir passé le stade des pleurs, dormi un peu, je suis toujours triste mais des questions me traversent l'esprit. Cette rupture est-elle un tel drames ?

Des certitudes : Je ne lui fais plus du tout confiance.


Du dégoût : souvenir de moment d'intimité où visiblement elle n'avait plus la certitude de ses sentiments à 100% = impossibilité d'intimité future pour moi (oui je parle de sexe :p)

une réponse : toi tu n'arretes pas de penser que si on se bat on peut y arriver ? moi je n'arrete pas de penser " j'espère qu'on se parlera aujourdhui"


Je sais qu'on aura besoin de beaucoup de force et d'énergie si on veut régler ça, tout reprendre presque depuis les fondamentaux et la base. Or, on est toutes les deux épuisées ... et sans confiance ...

J'ai qu'une envie : aller sur ce site avec un faux profil et voir comment elle réagit en vrai, parce que honnêtement, c'est impossible de la croire quand elle me dit quelque chose. Ce genre de plan me vient très facilement en tête mais après je suis agitée, en colère, je déteste ça, j'aimerai bien être dans une situation où il n'y aurait aucune raison que ce genre de choses me viennent en tête. Comment poursuivre une relation, sans confiance et avec la seule idée en tête de tester l'autre ???????

 
Epilogue


Si on se remet ensemble : quel avenir ?

Si on reste séparées : quel ambiance dans l'appart ? Comment dormir avec son ex ? Pour laquelle, peut-être est-ce tout de même important de le rappeler on a des sentiments très forts...


 

crapulerie publiée par Céline

Dimanche 18 janvier 2009 à 23:04

Est-ce parce que je me rends compte que ma place n'est pas ici chaque fois que je me demande si elle n'est pas là-bas que l'amabiance à la maison devient complètement invivable ?

crapulerie publiée par Céline

Mardi 9 septembre 2008 à 10:01

Tu ne viens jamais ici mais ce n'est  pas grave.  Ces derniers temps je prenais le train un peu en touriste comme on dit (rien sur moi), la batterie de l'i pod vide. Ayant un long trajet mercredi dernier j'avais prévu le coup et pris quelques feuilles avec moi pour écrire et tromper l'ennuie.

"6h43, le train poursuit sa route. Je me fais la réflexion que je ne connais pas ce paysage, et pour cause, je ne l'ai jamais fait [ce trajet : je fais d'incroyable raccourci quand je dors que 4h] Comment une telle absurdité est-elle parvenue à mon esprit endormi ? J'ai fait ce même trajet pour la première fois il y a trois ans, pour vous voir. Il ne reste plus qu'un "pour te voir" dans mon sourire. Mais quel sourire ! Si j'avais su à cette époque, que trois ans plus tard, tu serais dans tant de souvenirs, que tu viendrais étudier le temps d'une année par chez moi et que je ne compterai plus les photos et vidéos de toi et des concerts où nous sommes allées. Sans compter la folie des conventions ... Des pages et des pages se sont tournées depuis ce 7 juin 2005 mais l'histoire se poursuit et n'est pas prête de s'achever."


 

crapulerie publiée par Céline

dans la catégorie moments de vie

3 réactions

Créer un podcast