welcometomymind

De janvier à juin je t'aime et je souffre, on est si loin, je n'imagine même plus une telle distance entre toi et moi.

A partir de juin tu es tout mon emploi du temps, tu envahis tout, tu es partout. Je n'oublierai jamais l'accumulation de ces tous petits éléments qui l'un à côté de l'autre nous ont remis sur le même chemin : un vélo foutu, la pluie, une amie qui me lache, ton côté St Bernard, qui, pour une fois, je remercie, Oriane qui insiste pour qu'on se voie pour finalement tomber en panne ... et puis un dossier à rendre à Obernai ...

Le 13 juillet, un baiser qui a chamboulé mon monde, toi qui oublie la tente pour aller en camping : si tu savais comme je t'aime !

Mes 25 ans, don du sang ensemble, couverte de cadeaux, toi, toi à 7h du matin sur le pas de ma porte, toi et ta lettre, toi et ton mini-short :), toi et moi sous le soleil du bioscope, moi et mes coups de soleil sur les jambes à force de regarder tes matchs... toi qui rencontre ma soeur, et ma fête d'anniversaire .... mon vélo qui use le grillage du club à force d'y être posé ...

Supers vacances aux Pays-Bas mais qu'est-ce que tu me manques !! Nos retrouvailles en août sur le quai de la gare, toi, ton chapeau et moi...

Et puis et puis toutes ces chansons, la montagne, le lac de Kruth, les feux de la st jean, les trois sapins, le bowling ... wesserling : en été en or ! Des surprises pour nos un mois, le zoo de bâle et un bouqet de rose en septembre pour nos deux mois et par dessus tout ta présence, ton sourire, tes grosses joues de crapule toutes ces petites choses qui font que, au fil du temps, je me rends compte que je suis pour la première fois de ma vie face à quelqu'un qui est au moins aussi romantique que moi. Quelqu'un qui dépose mon coeur sur de la guimauve. Quelqu'un qui veut s'engager pour meilleur et pire, j'ai même pas compris où tu voulais en venir le jour où j'ai lu ça tellement ça ne ressemblait pas à tout ce que tu m'avais dit durant nos moments d'amitié ...

Et puis, la rentrée a apporté sa poussière d'étoile d'une certaine manière aussi, j'aime tellement que tu sois pas contente, pour mes erreurs de pronom, pour mes changements d'avis qui font qu'on pourrait moins se voir que prévu, qu'est-ce que je t'aime de raler. J'aime la tour eiffel à la maison, j'aime chez nous, j'aime ta bibliothèque, tes livres, tes revues, tes cours, j'aime les voir en rentrant, je souris à chaque fois, j'aime ton sourire, j'aime ma mère qui dit que tu fais partie de la famille, j'aime ta présence quand je suis malade, j'aime toi à noël, j'aime ton coup de foudre de juin 2007 et l'éclipse de 2081 et j'aime te prendre deux gares et me faire manger quand tu es un loup-garou.

J'aime que tu me gardes dans tes bras, toute la nuit, j'aime que tu me ramènes dans ton lit.

Je t'aime. Du 1er janvier au 31 décembre. Et pour toutes les années.



 

Telle une petite souris tu visites le blog non-stop et tu n'y trouves rien. Tu ne devrais jamais "rien" y trouver. A chaque seconde, à chaque instant, tu devrais lire ou entendre des mots d'amour. Je pense qu'on se verra demain ... sauf condition exceptionnelle on n'est pas capable de ne pas se voir deux jours de suite. J'ai pas peur d'y croire avec toi, j'ai pas peur d'écrire avec de grandes certitudes. Tu me donnes la foi. J'ai envie de te serrer dans mes bras et de te faire tourner, de sentir mon coeur s'envoler, d'être persuadée que je peux faire ça même avec mon dos parce que par amour pour toi rien n'est impossible : décrocher la lune, ou te soulever et te faire tourner dans mes bras avec un dos foutu. Je trouve que ça craint un peu que ce soit aussi évident pour tout le monde, ça apporte son lot de difficulté pour te surprendre. J'ai envie de te serrer dans mes bras près de l'arbre de noël familial, envie de nos sourires en miroir. Envie de t'aimer toute ma vie ...


Ton gentil noopy !