welcometomymind

sortez du troupeau

Mercredi 10 décembre 2008 à 11:12











             Voilà, je suis à Mulhouse. Je ne t'ai pas croisé ni par hsard ni en restant devant chez toi cinq heure d'affilé. Pas d'article sur ton blog cette semaine. 


              Mes parents font des travaux. Je ne sais pas où sont la plupart de mes affaires et je ne retrouve plus shaun the sheep. Enfin, je ne sais pas où il est. C'est peut-etre mieux, j'aurai peut-être pas supporté d'avoir une autre relique.


              J'y ai pensé. Je pourrai logiquement te revoir. Tu as des livres à moi et mon mémoire, j'ai ton pull et une paie de chaussette. Mais si tu me rendais tout ça, Lacuna n'aurait plus qu'à faire son boulot et je les aurai aidé. Et la vérité c'est que je crois que je souffrirai bien plus, sans rien qui me rappeller toi (autre que mes propres souvenirs, sans ces objets, ces petis rien qui ont pris une telle valeure pour moi), je souffrirai bien plus qi tu n'avais plus rien chez toi qui t'empêcherai de m'oublier totalement que si je ne devais plus jamais te revoir de ma vie. Je supporte difficilement cette idée, je suis pas sûr de pouvoir supporter que tu m'oublies. Pas tant moi que nous d'ailleurs.   Et pourtant j'y tiens à mon mémoire (je crois bien que tu le sais) mais je tiens à ce que l'une comme l'autre on conserve nos souvenirs, comme un inachevé, un pont qu'on ne pourra jamais coupé, un lien indestructible. 


            Tu sais quelles sont les histoires romantiques ....
 

crapulerie publiée par Céline

dans la catégorie Parle avec elle.

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Dimanche 30 novembre 2008 à 10:18



Découvrez Jean-Louis Aubert!



Tu liras tout cela, si tu me lis encore, un mois après que je l'ai écrit. On pourra s'imaginer que c'est obsolète...

Apparemment tu utilises pas mal ta voiture.

Je vais à Mulhouse la semaine prochaine : ça va être sacrément dur. J'espère te croiser par hasard. Je crois que je te désire autant que j'ai peur de toi, peur de toi justement à cause du premier élément...

J'ai ma psy perso en la personne de Camille " Camille tu vois le problème c'est que j'ai toujours cette pensée d'elle et moi, malgré cette décision, j'ai encore ce doute"... Je garde sous silence le fait que sans le vouloir je pense toujours à cette maison en Normandie. Elle me répond "fais la liste de ses défauts qui te feront rendre compte que c'était le bon choix". Ah oui, sur papier, super idée seulement voilà, je n'en trouve pas, et là ça fait peur j'ai réfléchi et j'en ai pas trouvé, pas un seul... ça m'aide pas beaucoup dans cette idée de bon choix.

Tu te souviendras pas du moment mais tu m'as demandé récemment si je voulais que tu m'oublies, je n'ai pas répondu. Je n'ai pas la force de te mentir de te dire "oui". Malgré tout c'est ce que tu devrai faire... parce que je n'ai plus rien à t'apporter. J'ai aimé lire que de toute façon tu n'en ferai rien ... Mais j'ai pas pu te dire ça, me poser cette question c'est comme me demander "veux-tu que je te brise le cœur ?" Oui ben non quoi même si je sais que c'est égoïste. Que comme ça je ne sauvegarde que moi. Mais, à mon sens, ne pas te répondre ce que je ressens, c'était ne pas pousser l'égoïsme jusqu'au bout...

Mulhouse, dans 7 jours, ça va être atroce. J'aimerai remonter le temps, peut-être pas pour prendre une autre décision, je suis toujours aussi paumée que je l'ai été, mais j'aimerai une dernière journée, une dernière nuit toi et moi ... revivre ces magnifiques souvenirs...

Au mieux je pourrai dire oublie-moi mais par pitié, sans le savoir, sans y penser, garde-moi une minuscule place dans ton cœur...

crapulerie publiée par Céline

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Samedi 1er novembre 2008 à 21:58


Découvrez 10cc!





C'est bien à ce personnage que je me suis identifiée, contente de voir que tu en as fait de même et que pour toi je ne suis toujours pas un Juan Antonio...

Qu'aurais dû-t-elle faire ?

Peut-être que jevais vraiment me mettre à bosser pour toi, parce que tu me l'as demandé et que je te dois bien ça ...

Qu'as tu pensé du film ?

crapulerie publiée par Céline

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Mardi 28 octobre 2008 à 11:37

                 J'ai rêvé de toi il y a deux, peut-être trois jours ( avec l'installation de la nouvelle version je ne sais plus trop)...      J'avais rendez-vous avec mon meilleur ami au lycée Lavoisier, je vous ai vus sortir du lycée tout les deux. Au lieu de me manifester, je vous ai suivi discrétement. Vous êtes allés manger au flunch et je vous observais. Vous rigoliez et il est tombé dans tes bras tellement il s'amusait. Et là, j'ai senti la fureur m'envahir, une jalousie incroyable ...

                 Tu sais, il est un peu arrivé la même chose à Camille qu'à toi. J'ai eu le droit à une leçon de vie (ce qui est bien : c'est fait pour remettre dans le droit chemin les amis). En gros, j'ai retenu que fallait assumer la décision qui avait été prise, que c'est sans doute mieux pour toi si tu m'oubliais (et je le pense aussi mais qu'est-ce que ça me fait mal), que, par conséquent, même si tu m'écrivais, même si c'était très dur pour moi, je devrai mieux me forcer à ne pas te parler, à te laisser m'oublier, au moins jusqu'à ce que tout soit clair de nos deux côtés ... D'ailleurs, je me dis que je ne devrai même pas dire tout ça sur ce blog. Je me trouve la mauvaise excuse que peut-être tu ne viens plus voir ce qui se passe de ma vie, mais je n'y crois pas trop. Même si en réalité je ne peux pas savoir. 
                
                J'aimerai pouvoir un  jour avoir des sentiments pour toi différents que ceux que j'ai en ce moment. Mais, d'une certaine façon, c'est ce que j'espère depuis qu'on s'est recontrées. C'est ce que je disais à Camille (oui, moi je suis quelqu'un qui parle pas mal ...) on a plus ou moins été amies par défaut, parce que la situation faisait qu'on ne pouvait être rien d'autre... mais il c'est passé quelque chose si vite. Peut-être dès le premier jour, la deuxième fois c'était certain, mon coeur savait. Ma raison a essayé d'ignorer le plus possible. Je t'assure, j'ai fait mon possible ... pour ne rien te dire, pour que cela me passe, pour ne pas donner un espoir sans promesse, mais ça m'envahissait de plus en plus ... Je ne dis pas que ce n'est plus le cas, mais je crois que j'ai fini par apprendre à vivre avec. J'ai encore l'espoir que cela me passe tout de même pour pouvoir te retrouver, parce que tu me manques... 

                   Et puis, il y a les autres reves, ce que je ne fais pas la nuit, je vois la tour eiffel, sur ton avatar, je me dis que tu es peut-être dans ta ville fétiche, celle où je devrais (devais ) aller ce week-end que même dans l'immensité de Paris nous pourrions nous croiser par hasard je n'y pourrais rien ce serait le destin... 

                 Enfin voilà, la parole est vaine et s'épuise, c'est plus dur en ce moment tu es plus connecté ...

crapulerie publiée par Céline

Samedi 18 octobre 2008 à 19:48

You can erase someone from your mind. Getting them out of your heart is another story.


Tu peux effacer quelqu'un de ton esprit. Le sortir de ton coeur est une autre histoire. (Jaquette du film Eternal sunshine of a spotless mind)

crapulerie publiée par Céline

dans la catégorie Parle avec elle.

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