Dimanche 7 mars 2010 Ã 21:55
Juste une des nombreuses choses qui parvienne à me mettre les larmes aux yeux quand je sens que tout cet amour et cette joie me frappe férocement au coeur. Je pourrais le protéger comme un joyau inestimable au coeur d'un château fort imprenable, ton amour à toi ne mettrait pas plus d'une demi-seconde pour repartir du château avec. Plus rapide qu'un coup de vent, laissant le château vide à jamais. Elle vient peut-être de là , la douleur physique que je ressens quand tu t'éloignes de moi ...Â
Je ne sais même pas comment te dire ce que je ressens, je ne peux même pas te dire combien je suis désolée de tout ce temps perdu, combien je suis désolée d'avoir été terrorisé par tout cet amour, toute cette dépendance, terrorisé par la certitude absolue que si je ne fuyais pas, chaque nuit sans tes bras me serait insupportable, la certitude que je ne trouverais plus jamais un sommeil paisible sans toi, sans me réveiller avec ton bonjour, ton sourire, tes yeux, ton front contre le mien. Tu t'imagines pas comme je me sens perdue quand je te vois à seulement dix mètres de moi à une soirée, comme je souris aussi en te regardant, sans que tu ne me remarques, quand je vois les autres t'écouter, quand je te vois sourire, et quand tu me souris à moi ... je tombe amoureuse de toi à chaque fois que je te vois et je sais que je t'aimerai toute ma vie, je sais aussi que je ne cesserai jamais de tomber amoureuse de toi lorsque tu souriras, lorsque tu me regarderas droit dans les yeux, quand tu t'avanceras vers moi, quand je te verrai, même à l'autre bout d'une pièce... Je me rends compte que tu changes mon univers, je deviens excessivement fleur bleue, je n'ai besoin de rien d'autre que toi ...
Je veux tout avec toi et je n'ai peur de rien, de rien ... et rien n'est trop tôt pour moi du moment que c'est avec toi.
crapulerie publiée par Céline
