welcometomymind

sortez du troupeau

Mardi 28 octobre 2008 à 11:37

                 J'ai rêvé de toi il y a deux, peut-être trois jours ( avec l'installation de la nouvelle version je ne sais plus trop)...      J'avais rendez-vous avec mon meilleur ami au lycée Lavoisier, je vous ai vus sortir du lycée tout les deux. Au lieu de me manifester, je vous ai suivi discrétement. Vous êtes allés manger au flunch et je vous observais. Vous rigoliez et il est tombé dans tes bras tellement il s'amusait. Et là, j'ai senti la fureur m'envahir, une jalousie incroyable ...

                 Tu sais, il est un peu arrivé la même chose à Camille qu'à toi. J'ai eu le droit à une leçon de vie (ce qui est bien : c'est fait pour remettre dans le droit chemin les amis). En gros, j'ai retenu que fallait assumer la décision qui avait été prise, que c'est sans doute mieux pour toi si tu m'oubliais (et je le pense aussi mais qu'est-ce que ça me fait mal), que, par conséquent, même si tu m'écrivais, même si c'était très dur pour moi, je devrai mieux me forcer à ne pas te parler, à te laisser m'oublier, au moins jusqu'à ce que tout soit clair de nos deux côtés ... D'ailleurs, je me dis que je ne devrai même pas dire tout ça sur ce blog. Je me trouve la mauvaise excuse que peut-être tu ne viens plus voir ce qui se passe de ma vie, mais je n'y crois pas trop. Même si en réalité je ne peux pas savoir. 
                
                J'aimerai pouvoir un  jour avoir des sentiments pour toi différents que ceux que j'ai en ce moment. Mais, d'une certaine façon, c'est ce que j'espère depuis qu'on s'est recontrées. C'est ce que je disais à Camille (oui, moi je suis quelqu'un qui parle pas mal ...) on a plus ou moins été amies par défaut, parce que la situation faisait qu'on ne pouvait être rien d'autre... mais il c'est passé quelque chose si vite. Peut-être dès le premier jour, la deuxième fois c'était certain, mon coeur savait. Ma raison a essayé d'ignorer le plus possible. Je t'assure, j'ai fait mon possible ... pour ne rien te dire, pour que cela me passe, pour ne pas donner un espoir sans promesse, mais ça m'envahissait de plus en plus ... Je ne dis pas que ce n'est plus le cas, mais je crois que j'ai fini par apprendre à vivre avec. J'ai encore l'espoir que cela me passe tout de même pour pouvoir te retrouver, parce que tu me manques... 

                   Et puis, il y a les autres reves, ce que je ne fais pas la nuit, je vois la tour eiffel, sur ton avatar, je me dis que tu es peut-être dans ta ville fétiche, celle où je devrais (devais ) aller ce week-end que même dans l'immensité de Paris nous pourrions nous croiser par hasard je n'y pourrais rien ce serait le destin... 

                 Enfin voilà, la parole est vaine et s'épuise, c'est plus dur en ce moment tu es plus connecté ...

crapulerie publiée par Céline

Samedi 18 octobre 2008 à 19:48

You can erase someone from your mind. Getting them out of your heart is another story.


Tu peux effacer quelqu'un de ton esprit. Le sortir de ton coeur est une autre histoire. (Jaquette du film Eternal sunshine of a spotless mind)

crapulerie publiée par Céline

dans la catégorie Parle avec elle.

4 réactions

Mardi 7 octobre 2008 à 23:47

Choisissant des options étranges (type latin ou encore La jalousie de Robe-Grillet le vendredi de 13 à 15) j'ai eu l'habitude d'avoir peu de camarades autour de moi mais je n'avais encore jamais eu le prof ( que j'appelerai d'aurénavant beau-gosse) pour moi tout seule. C'est chose faite avec beau-gosse qui m'apprend l'espagnol aujourd'hui.

Tout ça pour dire (aussi) que j'ai eu 9 à ma première version, voilà.

Bonne soirée à vous, allez voir Vicky Cristina Barcelona je veux pas être la seule à me sentir glauque ^^

crapulerie publiée par Céline

Mardi 7 octobre 2008 à 23:43

J'ai peu de temps pour développé ma soirée, qui mériterait peut-être un traitement plus approfondie mais je vais aller droit au but :

C'est la deuxième fois que je me vois sur grand écran ou plutôt la deuxième fois que je vois sur grand écran une représentation de la représentation que j'ai de moi et de ma vie. Comme pour la première fois, sentiment TRES désagréable. Sachant que la première fois c'était devant Closer, on pourra noter que j'ai une représentation plutôt glauque de moi-même et de ma vie. Ou c'est peut-être seulement parce que c'était des aspects très personnels que cela me bouleversait autant de les voir représenté, après tout, quand je vois des gens, toujours au cinéma, avoir un patron chiant, c'est également notre vie à tous, mais  c'est quelque chose que j'estime beaucoup plus anodin et partagé par un plus grand nombre.

Va le voir je suis sûr que tu comprendras où me trouver. Et peut-être me diras-tu quelle décision elle aurait du prendre ...

 

crapulerie publiée par Céline

Lundi 6 octobre 2008 à 11:36

Je bosse pas autant que je ne le devrai ...

Je suis passée à l'oral vendredi, j'étais volontaire, apparemment je maitrise la technique de l'explication, j'allie bien fond et forme mais je n'ai pas tenu assez longtemps, temps qui m'aurait été précieux pour dire des choses importantes. Sans compter que je me suis fait avoir sur le sens du verbe "soulait" ( infinitif souloir et non soûler comme je l'ai appris pendant la reprise de la prof).

En réalité, cet exercice est censé se faire en 1H30 pour un passage de 25 min, moi j'ai mis plus de 5 h je pense, et encore j'ai baclé la fin par manque de temps (d'où les éléments manquants). Oh oui, en ralité, en temps illimité ce n'est pas un exercice qui me pose logiquement problème, le problème c'est que même si  les idées me viennent vite je met un temps énorme à les poser sur papier. Et avec uniquement des notes, il y a tjs des éléments que j'oublie de mentionner à l'oral. Alors qu'au lycée je m'en sortais très bien avec des notes sur une seule feuille A 4 plié en deux et je tenais le temps.

Bref ... le temps passe vite : ça craint, je ne devrai pas perde de temps ...

C'est le chantier dans ma tête et mon coeur. J'arrive pas à l'oublier, je me sers du pull qu'elle m'avait prêté pour après le tennis comme doudou pour dormir. Ce qu'elle dit c'est beau. Elle va mal. Je me sens impuissante ...

crapulerie publiée par Céline

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